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Nom complet: zafar, origines lointaines, au pays des rois, qui signifie victoire. raïs, le chef, prénom en total adéquation avec ton nom de famille, à peine né et déjà prédestiné à être un survivant.
Âge: trente-quatre ans que ton coeur bat
Date et lieu de naissance: 24 avril, à bagdad, afghanistan.
Origines: afghanes par ton père, américaines et anglaises par ta mère.
Nationalité: américaine
Activité professionnelle: capitaine dans l'armée de terre, prétendu mort officiellement, rescapé de justesse officieusement.
Etudes: t'as longtemps étudié la littérature avant de t'engage dans l'armée.
Statut financier: tu survis c'est le principal.
Etat civil: célibataire en proie à des visions d'elle.
Orientation sexuelle: t'as toujours été attiré que par les courbes féminines.
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Qualités et défauts: protecteur, responsable, posé, réfléchis, borné, calme, fier, secret, distant, généreux, loyal, fidèle, taquin, exigeant, ambitieux, engagé, possessif, jaloux, tenace.
one day baby, we'll be old+ t'es très sportif, surtout que t'es dans l'armée, ça fait partie de ton quotidien, tu essayes de garder cet esprit depuis ton réveil du coma + t'as un chat, nommé
gold, à cause de la couleur dorée dans ses yeux, que tu as trouvé dans ton jardin, le lendemain de ton retour chez toi, il était blessé mais tu l'as soigné et depuis il ne te quitte plus + tu fais énormément de cauchemars depuis ton réveil, tu vois leur visage ensanglanté, tu la vois souvent, elle. tu n'arrive pas à te débarrasser de cette culpabilité qui te ronge depuis. tu aurais dû les sauver ou mourir avec eux + tu étais très proche de ton frère avant ton départ pour l'armée, mais ta décision a très fortement détérioré votre relation et tu t'es promis de réparer cela + t'es très croyant, musulman depuis ton entrée à l'armée américaine, ironie du sort, mais tu as toujours été proche de dieu et ta foi n'a jamais faillis même après ce qui s'est passé, pour toi ce n'est qu'une épreuve de plus, tu as survécu pour une raison, il te suffit juste de trouver laquelle. tu y crois malgré la blessure profonde ancrée en toi depuis ce jour où tout a basculé + tu parles couramment l'arabe, l'anglais et le français, très utile pour ton poste au sein de l'armée. tu as très évolué en grade, à force de travail et de dévouement, t'es passé passé capitaine d'armée en très peu de temps par rapport à tes collègues, ce qui fait de toi l'un des plus jeunes capitaines de ta génération + tu écoutes beaucoup de musique et tu es un excellent cuisinier + tu ne bois d'alcool et ne fume plus depuis l'âge de vingt ans + t'a arrêté tes études de littérature après avoir obtenu ton diplôme pour t'engager dans l'armée +
story-telling is the new trend« l’armée ?... » tu le fixes dans les yeux, ton regard ne défaillis pas, tout comme toi. Tu as pris ta décision, tu ne changeras pas d’avis, mais tu veux son approbation, tu souhaites son soutien. « oui, papa, je veux protéger notre pays, ces talibans salissent notre honneur, ils tuent nos frères sans raison, je veux faire quelque chose. Mon choix est fait, mais je veux que tu sois fier de moi… » tu peines à retenir tes larmes, mais tu résistes, un zafar ne faiblis pas, un rais combat pour ses idées. Ton père s’approche lentement, tu aperçois les larmes dans ses yeux. Pour la première fois en vingt-trois ans, tu vois ton père pleurer et tu fléchis un peu. « ouldi, j’ai toujours été fier de toi, et je le serais quoique que tu fasses, je t’aime mon fils, reviens-nous, c’est tout ce que je te demande » tu le laisses t’enlacer et te blottis dans ses bras comme le petit de garçon que tu étais, qui a toujours vu son père comme un héros. Vous avez fui l’afghanistan, lorsque tu avais douze ans, pour une vie meilleure aux états-unis, tu as vu ton père se battre longtemps avant de faire ce choix, pour vous, pour vous sauver, ta mère, ton frère et toi-même.
Tes souvenirs sont flous, pourtant son visage, tu le vois très distinctement. Elle marche près de toi, sans un mot, tu es concentré, cette mission semble banale mais aucunes ne l’est véritablement, tu es leur capitaine et tu as leur vie entre tes mains, tu ne peux pas prendre le moindre risque. Pourtant sa présence, très proche te perturbe, plus que d’habitude, tu ignores pourquoi, elle est ton lieutenant, tu l’as choisi, tu ne l’as pas fait parce que tu l’as trouvé attirante dès que tu l’as vu, mais parce qu’elle était douée, forte, et fait pour ce poste, du moins tu t’en persuades chaque jour depuis. mais tu restes concentré, tu ne parles pas, tu écoutes, tu observes. Le reste de la journée reste floue dans ta mémoire, tu ne sais plus ce qui s’est vraiment passé ensuite, tu te souviens d’un bruit sourd, des tirs perçant de partout, tu ne pensais qu’à une chose alors, la protéger, la mettre à l’abri au plus vite, tu donnes des ordres à tout va, tu mènes tes hommes comme tu peux, dans le chaos, tout en la sauvant elle. Mais tu sais que tu as échoué, tu les entends, tu lui ordonnes de fuir, de courir, elle t’obéit et tu espères qu’elle s’en sortira, tu pries pour avoir pris la bonne décision.
« elle est morte, sale traître, la blonde américaine, tout comme les autres, tes hommes, on les a tous eu, et tu es le prochain. » tu souffres, tu as mal partout, tu sens ton propre sang couler sur ta peau, la lumière agresse tes yeux à peine ouvert, trop gonflés par les nombreux coups reçus. « tuez-moi tout de suite, alors, je ne dirais rien, de toute façon » tu le penses, si ils sont vraiment tous morts, tu es prêt à les rejoindre, tu as échoué, tu les abandonnés, tu les suivras dans la mort, si tel est ton destin, tu l’acceptes. Mais ton corps n’est pas prêt à quitter la terre lui, tu tiens le coup, tu ne cesses de penser à tes parents, à ton frère, une part de toi ne veut pas les quitter si vite, si tôt et tu as fait une promesse à ton père. Revenir. Tu sombres doucement, au rythme des tortures que tu subis, pourquoi ne te tuent-ils pas ? tu entends des bribes de conversation, tu comprends parfaitement ce qu’ils disent, héritage de ta vie passée dans ce pays. Tu comprends qu’il te garde captif, mais personne ne viendra te sauver, le gouvernement n’acceptera jamais d’échanger ta vie peu importe ce qu’ils demandent en retour. Tu es perdu, tu le sais mais ton corps refuse de mourir. Pourtant tu finis par sombrer dans les ténèbres, les laissent t’envelopper de ses bras rassurant. C’est la fin, enfin. tu vas les rejoindre, tu vas la rejoindre.
Mais tu sens la vie revenir en toi, une force inconnue coule dans tes veines. Tu entends des bruits autour de toi, mais ceux-là ne ressemblent plus aux précédents, des bips près de ton oreille retentissent lentement avant de s’accélérer légèrement au fur et à mesure que tu prends conscience de ce qui t’entoure. Tu tentes vainement d’ouvrir les yeux, mais tes paupières te paraissent trop lourdes et la lumière blanche qui filtre aux travers de tes cils, te brûle la rétine. Tu entends des pas précités, puis des voix, qui deviennent audibles au bout de quelques minutes. « monsieur zafar, vous m’entendez ? pressez ma main si c’est le cas, s’il vous plait » tu sens des doigts chauds sur ta main droite et tu t’exécutes au mieux que tu peux, tu as l’impression que des propres doigts n’ont pas bougé mais tu entends des exclamations, tu en conclus que le test s’est révélé positif finalement. Tu es fatigué, comme si tu avais dormi beaucoup trop longtemps. Lorsque tu ouvres finalement les yeux, au bout de ce qui te sembles être plusieurs heures, tu souris malgré toi, le visage de ta mère, mouillé par les nombreuses larmes qui ont dû couler sur ses joues. Sa main se serre dans la tienne et cette fois tu sens la pression. tu es en vie, tu ne sais pas comment mais tu as survécu. Alors la réalité te frappe de plein fouet et tu laisses tes propres larmes couler.
on t’apprend que tu as été sauvé lors d’un sauvetage clandestin organisé par ton propre père, entré en relation avec des rebelles afghans. mais qu’il a risqué sa propre vie pour sauver la tienne, tu es rentré en vie mais lui n’est jamais revenu, personne ne sait vraiment s’il est en vie ou non. tu as passé cinq mois dans le coma, et une semaine après ton réveil dans un hôpital de washington, tu repars à long beach avec ta mère et ton frère.
behind the screenPrénom/Pseudo: sam/ud |
Âge: farouche
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Pays: douce france |
Avatar: dominic cooper le badass |
Groupe: holden caulfield |
Type de personnage: inventé avec mon babe de ma vida
Le mot de la fin: y a le seigneur des anneaux, les deux tours, je vais décéder, adieu, je vous aime, surtout ma nana